Testés à l'extrême

Nous poussons nos vélos jusqu'aux limites - et au-delà - pour qu'ils puissent faire face à tout ce que la ville leur réserve.

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Parés aux tempêtes tropicales¹

Nous soumettons nos e-bikes à 39 litres d'eau par minute à une pression extrêmement élevée pour nous assurer que leurs composants électriques restent bien au sec par tous les temps.

Une chaleur digne du Sahara. Mais plus chaud.²

Nous plaçons les composants de nos vélos dans une chambre thermique de 70℃ pendant 72 heures d'affilée. Ainsi, nous savons qu'ils peuvent faire face à la journée la plus chaude de l'année, où que ce soit dans le monde.

Parés à l'Arctique³

Nous plaçons les cadres des vélos (sans la technologie à l'intérieur) dans une chambre à -40℃ pendant 72 heures. Une fois la glace fondue, nous testons les cadres pour nous assurer qu'ils sont toujours aussi résistants.

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Construits pour rouler. Encore et encore⁴

Pour que nos vélos soient prêts à effectuer n'importe quelle distance, nous les faisons rouler sur 200 km de terrain accidenté à 25 km/h. C'est-à-dire d'Amsterdam à Bruxelles. Sans aucune pause.

Parés aux tempêtes de sable⁵

Pour nous assurer que les particules en suspension dans l'air n'affecteront pas les performances de nos vélos, nous les enfermons dans une chambre et créons notre propre tempête de sable pendant 8 heures.

Parés aux chocs extrêmes⁶

Nos e-bike urbains doivent être capables de faire face aux turbulences d'une ville animée. C'est pourquoi nous les attachons à une plaque vibrante sur trois axes différents et les soumettons à des chocs extrêmes en continu pendant 36 heures.

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0139 litres d'eau par minute à 689 kPa, au-dessus de la norme JIS D 0203 2S.

0270℃ pendant 72 heures, au-delà de la norme EN 60068-2

03Chambre à -40℃ pendant 72 heures, au-dessus de la norme EN 60068-2

04200 km à 25 km/h, au-dessus de la norme ISO 4210 Annexe A

0518,24 kg de poussière sur 8 heures, IEC 60529, IP5X

063 axes pendant 36 heures à 24,9 m/s2, au-dessus de la norme DIN 79009